Actualités de la catégorie intervenants 2021

Marie Nimier
Marie Nimier est une romancière et parolière française.
Elle se tourne un temps vers la scène et vers la musique : elle crée avec Antoine Denize le groupe Les Inconsolables pour lequel elle écrit et chante des chansons.
A partir de 1985, elle embrasse une carrière d’écrivain rapidement couronnée par les Prix de l’Académie Française et de la Société des Gens de Lettre, pour « Sirène ». Elle écrit également des albums pour enfants, et des pièces de théâtre.
Elle obtient le prix Médicis en 2004 pour « La Reine du silence »(Gallimard). En octobre 2008, elle se voit décerner le Prix Georges Brassens pour son roman « Les Inséparables » paru chez Gallimard.
Son dernier livre « Le palais des orties » vient de paraitre: « Un livre de résistance à une époque. C’est frais, sensuel, sans cliché. »
Olivia de Lamberterie (ELLE) in Le masque et la plume, 2020
pour en savoir plus aller sur le site de Marie Nimier
Vendredi 23 juillet à 21h au Jardin des Marronniers à Lectoure, elle lira des extraits de son livre La plage
et samedi 24 juillet à 15h, librairie la Méridienne à Fleurance, elle sera présente pour une rencontre avec le public.

Christian Grataloup
Christian Grataloup, géohistorien, professeur émérite à l’université Paris Diderot, travaille sur l’histoire de la mondialisation et de la représentation du Monde.
« Géohistoire de la mondialisation » a reçu le prix Ptolémée 2007 du Festival international de géographie (FIG) de Saint-Dié-des-Vosges, ainsi que le prix Jean Sainteny 2008 de l’Académie des sciences morales et politiques.
Il nous parlera vendredi 23 juillet à 18h, à l’Hôtel de ville de Lectoure de l’histoire des cartes en Méditerranée, rencontre illustrée et lectures d’extraits de La Méditerranée de Fernand Braudel.

Omar Youssef Souleimane
Omar Youssef Souleimane est journaliste et poète syrien, né en 1987 près de Damas. Il passe son adolescence en Arabie Saoudite, où il suit une éducation coranique tout en se nourrissant de la poésie d’Éluard et d’Aragon. Entre 2006 et 2010, il est correspondant de la presse syrienne et publie ses premiers poèmes. Clandestin, il est exfiltré à Paris, où il vit aujourd’hui. Il a publié aux Éditions Le temps des cerises un recueil de poèmes, Loin de Damas et revient avec un récit en 2018, Le petit terroriste aux Éditions Flammarion. Son prochain livre Le dernier syrien est sorti en janvier 2020.
son site: https://omaryoussef.org site de son éditeur: Flammarion
Mercredi 21 juillet à 21h, Jardin des Marronniers à Lectoure, rencontre et lectures d’extraits de ses ouvrages Le petit terroriste et Le dernier syrien.

Hugo Paviot
Hugo Paviot est né en 1972. Après des études littéraires à la Sorbonne, il se consacre à l’écriture et devient dramaturge, poète, traducteur, metteur en scène puis romancier.
Son premier roman, Les Oiseaux rares (Seuil, 2020), a reçu le prix du Festival du premier roman de Chambéry 2021 et a été sélectionné pour le prix Nice Baie des Anges, le Coup de cœur des lectrices de Version Femina et le Coup de cœur des lycéens de Sceaux.
Il a écrit à ce jour onze pièces toutes publiées et jouées, dont certaines ont été primées.
Directeur artistique de la compagnie Les Piqueurs de glingues, il a lui-même mis en scène, en coproduction avec la Scène nationale du Sud-Aquitain, La Trilogie d’Alexandre composée de ses pièces Vivre (2017), La Mante (2016) et Les Culs de plomb (2012).
Il est l’auteur d’un recueil de poèmes, L’éclat du samouraï, paru en 2014 au Pérou aux éditions Amotape Libros, dans une version bilingue, avec une traduction en espagnol du poète péruvien Jorge Nájar.
Il traduit lui-même des dramaturges et romanciers espagnols contemporains. Il reçoit notamment en 2009 pour sa traduction du roman Les Princes nubiens de Juan Bonilla (Galaade éditions, 2009), le Prix littéraire des jeunes européens.
Il est lauréat de plusieurs bourses et résidences d’écriture (CNL, région IDF, Montpellier Méditerranée Métropole, Département de l’Yonne…).
Il anime de nombreux ateliers d’écriture notamment en milieu scolaire, qui lui ont valu d’être nommé chevalier de l’ordre des Palmes académiques.
Il lit des extraits de son livre Les Oiseaux rares samedi 24 juillet à 18h (Lectoure, Hotel de ville)
photo de Bénédicte Roscot

Marie-Armelle Deguy
Après avoir fait le Conservatoire national supérieur d’art dramatique à Paris de 1982 à 1985, elle fut pensionnaire de la Comédie française de 1985 à 1988.
Nombreux rôles au théâtre mais aussi au cinéma et à la télévision.
Elle nous propose une lecture de « la princesse de Montpensier » de Mme de Lafayette accompagnée de la harpiste Contance Luzzati.
« «J’adore la littérature classique et la langue du XVIIe siècle….J’ai voulu raconter cette histoire comme on fait rêver un enfant, le soir, dans son lit, comme on chuchote un récit à l’oreille de quelqu’un. Pour la harpe, nous avons choisi des airs du XVIIIe siècle. Constance joue selon diverses modalités : seule, en ponctuation, sur ou sous le texte. La harpe apporte un prolongement merveilleux à cette langue et magnifie le texte. C’est un peu comme un récit à deux voix. »
Elles n’en sont d’ailleurs pas à leur première collaboration…
Samedi 24 juillet à 12h dans le cloitre de la Romieu, elle sera accompagnée de la harpiste Contance Luzzati (en partenariat avec le festival Musique en chemin).

Fady Zakar
Fady Zakar est un explorateur du vaste et fertile terroir des musiques traditionnelles. D’origine libanaise et algérienne, ayant vécu en Algérie, en Irak et en Italie, il se passionne tout naturellement pour les musiques du monde et ce qu’elles véhiculent. Il fonde son langage en s’inspirant de sources aussi variées que celles de l’Inde, d’Asie Centrale, du Moyen-Orient et du bassin méditerranéen et développe une approche personnelle autour de l’idée, de l’émotion, du geste et du son pour épanouir sa créativité. Cela lui permet d’évoluer au sein de groupe musicaux mais aussi dans un cadre de spectacle vivant avec des conteurs, des marionnettistes, des comédiens, des danseurs ou encore au cours d’ateliers à vocation pédagogique.
Il a entrepris des voyages d’imprégnation en Inde (Rajasthan, Gujarat), en Afghanistan, en Crète et en Calabre afin de rencontrer les musiciens traditionnels et leurs cultures. Riche de ces périples, il invite régulièrement en France des musiciens pour des projets musicaux.
Il accompagnera les lectures du cabaret sur le thème la Méditerranée d’escale en escale, samedi 24 juillet à 2Oh (Jardin des Marronniers)

Flaubert et la Méditerranée, la quête d’un ailleurs absolu
Comme je me suis senti pris d’amour pour cette mer antique dont j’ai tant rêvé…
Évocation – lecture proposée par Joël Dupressoir de l’association Le Lire et Le Dire
Flaubert est souvent représenté comme un écrivain accroché à sa Normandie « comme une huître à son rocher ». En témoigne Madame Bovary, véritable mythe littéraire dont l’action se déroule au sein d’un territoire proche de sa ville natale de Rouen.
Mais sait-on que Flaubert effectua quatre grands voyages à travers la Méditerranée de la sortie de son adolescence jusqu’à l’âge de 37 ans ? Qu’il en est revenu ébloui, subjugué ?
Mais sait-on qu’il va associer toute sa vie durant cette mer et les civilisations qui l’entourent à son imaginaire d’écrivain ?
Mais sait-on qu’une œuvre sur deux de Flaubert a pour thème et décor la Méditerranée, sa géographie, son histoire ?
La commémoration du bicentenaire de la naissance de Gustave Flaubert (1821-1880) est l’occasion pour le Festival Lectoure à voix haute de faire (re)découvrir un écrivain voyageur fasciné par le sud méditerranéen de Marseille à Beyrouth en passant par Thèbes et Carthage.
Rencontre Flaubert et la méditerranée : La quête d’un ailleurs absolu, proposée par Joël Dupressoir, mercredi 21 juillet à 17h (Lectoure, Hôtel de ville)
Enregistré par Le lire et le dire : Journal de Flaubert en orient (extraits)
image: place de l’Esbekieh au Caire, tableau de Prosper Marilhat 1833 (musée de l’Hermitage)

Tangui Perron
Diplômé de l’École des hautes études en sciences sociales, Tangui Perron a suivi les cours de Marc Ferro et Robert Paris.
Historien, il est spécialiste des rapports entre mouvement ouvrier et cinéma, chercheur associé au Centre d’histoire sociale et correspondant du Dictionnaire biographique, mouvement ouvrier, mouvement social (Le Maitron).
Chargé du patrimoine audiovisuel au sein de l’association Périphérie, il poursuit un travail d’éducation populaire et de programmation en région parisienne, majoritairement en Seine-Saint-Denis.
Présentation du film Toni de Jean Renoir, mardi 20 juillet à 21h au cinéma le Sénéchal
Jeudi 21 juillet à 18h, Hôtel de ville de Lectoure, rencontre sur le thème de Toni à aujourd’hui, la représentation des immigrés dans le cinéma français / approche

Gianni Burattoni
Gianni Burattoni est né à Russi, en Italie, en 1947. Après avoir fait ses études humanistes et artistiques à Ravenne et Florence, il s’établit à Paris au début des années soixante-dix. Il y rencontre le poète Louis Aragon, dont il devient ami et collaborateur et qui le dirige vers le monde « magique » du jardin.
Dès 1976, tout son travail artistique sera consacré au jardin et au paysage, à travers des expositions dans des galeries, musées, fondations, en Europe, aux États-Unis et au Japon.
Membre du comité de rédaction de la revue Digraphe, de 1985 à 2002, il continue à collaborer régulièrement aux Lettres françaises depuis 2003.
Pendant des années il sera chargé de cours à l’université Paris-8, en développant le thème : Essais de paysage et jardins virtuels.
Ensuite, il sera maître de conférences à l’École nationale d’architecture Paris-Malaquais. Pendant cette période, il participe à des colloques et des séminaires dans divers pays.
Depuis 10 ans, il vit dans les Pyrénées en se consacrant à ses Jardins invisibles qui resteront secrets, parce que leur pouvoir utopique est leur grande force et en même temps leur plus grande fragilité.
Il lira mercredi 21 juillet à 18h Ma Méditerranée une nouvelle inédite écrite pour notre festival racontant le delta du Pô de son enfance, il nous parlera également de son travail d’illustrateur.
Jardin de la Cerisaie, en partenariat avec L’été photographique.

Benoit Séverac
Benoît Séverac est auteur de littérature noire et policière.
Il est publié par les éditions de La Manufacture de Livres en littérature adulte, et aux éditions Syros en littérature jeunesse (ado+).
Ses enquêtes reposent sur un contexte social décortiqué et une étude psychologique sans concession du genre humain. Certains de ses romans ont été traduits aux Etats-Unis ou adaptés au théâtre. Il collabore à divers projets mêlant littérature et arts plastiques, photographie, calligraphie contemporaine, musique… Benoît Séverac prend également part à des productions cinématographiques.
Il est l’auteur de quinze romans, tous primés plusieurs fois.
Ses dernières parutions sont Tuer le fils (éd. La Manufacture de Livres fév. 2020) et Skiatook Lake (co-écrit avec Hervé Jubert aux éditions Le Passage 2021).
Benoît Séverac vit et écrit à Toulouse.
Jeudi 22 juillet à 21h, Jardin des Marronniers à Lectoure il lira sa nouvelle Ondes algériennes (publiée dans la revue Gibraltar) accompagné par le musicien Jean Paul Raffit.
En partenariat avec la Médiathèque de Lectoure.

Jean Paul Raffit
Dès ses débuts Jean-Paul RAFFIT accompagne en tournée et enregistre avec Bernardo SANDOVAL, Eric LAREINE, André MINVIELLE. Il initie ou participe à des rencontres autour de l’improvisation avec de nombreux musiciens Philippe CATHERINE, Guillaume DE CHASSY, Leïla MARTIAL, Pierre-Michel SIVADIER, Vincent BEER-DEMANDER, Yvo ABADI, Alain MOGLIA…
En tout, il signe plus d’une cinquantaine de compositions pour l’Orchestre de Chambre d’Hôte et compose également de nombreuses bandes sons en ciné-concert pour des films de patrimoine référencés au catalogue national de l’ADRC.
En 2015, Jean-Paul Raffit participe comme musicien au tournage du film « 21 nuits avec pattie » réalisé par les Frères Larrieu (avec Isabelle Carré, Karine Viard, Denis lavant…). En 2016-2017, le distributeur Malavida fait appel à lui pour écrire et enregistrer une bande son sur les court-métrages de Walt Disney « Alice Comedies Vol.1 » (musique des quatre épisodes) et Vol.2 (musique de trois épisodes, le quatrième est signé Manu Chao).
Titulaire du diplôme d’Etat des musiques actuelles, il a enseigné une quinzaine d’années en formation professionnelle à Music’Halle (Toulouse) et intervient depuis plus de dix ans à Jazz à Tours, notamment comme directeur du dispositif « Télescope » pour les groupes émergeants en musiques actuelles.
Il accompagne Benoit Séverac pour la lecture de sa nouvelle Ondes algériennes jeudi 22 juillet à 21h au Jardin des Marronniers
En partenariat avec la Médiathèque de Lectoure

Constance Luzzati
L’élargissement du répertoire de la harpe, à travers la création contemporaine et la transcription de musique ancienne, constitue le domaine de prédilection de la harpiste Constance Luzzati. Elle a obtenu en 2014 un doctorat d’interprète (CNSMDP et Université Paris- Sorbonne) qui concerne la transcription pour harpe du répertoire de clavecin français du XVIIIesiècle. Une collaboration avec plusieurs compositeurs (Bruno Mantovani et Édith Lejet, dont elle a créé les œuvres) lui a donné accès à la musique contemporaine vivante. Les projets associant théâtre et musique lui tiennent également à cœur. Elle a ainsi intégré les mises en scène d’Emmanuel Demarcy-Motta pour des pièces de Brecht et Von Horvath de 2007 à 2011, et créé avec la comédienne Marie-Armelle Deguy et le metteur en scène Jacques Vincey un spectacle autour des textes de Madame de La Fayette. Un cursus à l’école d’art dramatique Florent lui a permis de développer sa compréhension de l’univers théâtral.
Constance Luzzati a eu l’occasion de faire partager au public ses répertoires favoris dans de nombreuses salles parisiennes (Cité de la musique, Maison de la radio, Petit Palais), françaises (Folles journées de Nantes, Flâneries de Reims, Festival de Besançon), ainsi qu’à l’étranger (Italie, Espagne, Grande Bretagne, Pays Bas, Hongrie, Japon, États Unis). Elle est a remporté deux premiers prix internationaux, est lauréate ou finaliste de 4 autres concours internationaux dont le Concert Artists Guild à New York en 2011, ouvert à tous les instruments, tandis qu’en France elle a été distinguée par les Avant-scènes du CNSMDP en 2007, Cultures France et la fondation pour la vocation Marcel Bleustein-Blanchet. Le claveciniste Kenneth Weiss et les harpistes Françoise Netter, Isabelle Moretti, Germaine Lorenzini et Mara Galassi ont été ses mentors, dont l’enseignement a été complété par celui de beaucoup d’autres professeurs, au CNSMDP, où, avant le doctorat et le cycle de perfectionnement, elle a suivi le cursus complet des classes de harpe, musique de chambre, histoire de la musique, analyse, culture musicale, et esthétique.
Très engagée au service de la transmission musicale, elle donne régulièrement des conférences pour tous les publics (à la Philharmonie, à l’université populaire de Bondy), et enseigne la culture musicale dans les conservatoires depuis la formation initiale (CRD de Bourg-la-Reine, CRR de Boulogne) jusqu’à l’encadrement de licences et masters (PSPBB, CNSMDP). Très intéressée par l’articulation entre le répertoire musical et la théologie, elle étudie cette discipline à l’Université de Genève depuis 2014.
son site: http://constanceluzzati.com
Samedi 24 juillet à 12h au cloître de la Romieu. Elle assurera l’accompagnement musical de la lecture de Marie-Armelle Deguy : La princesse de Montpensier.
En partenariat avec le festival « Musique en chemin »

Jean Noel Liaut
Ecrivain et traducteur, Jean-Noël Liaut est né le 16 novembre 1966. Il est l’auteur d’une douzaine d’ouvrages, parmi lesquels Karen Blixen Une Odyssée africaine (Grand Prix Littéraire de L’Héroïne 2005) qui l’a conduit à intervenir il y a trois ans sur notre festival et Elsa Triolet & Lili Brik Les Soeurs Insoumises (Prix de la Biographie de l’Académie française 2015/ Finaliste du Prix Goncourt de la Biographie 2015). Elle, Edmonde (Allary 2017), Nancy Mitford, la dame de la rue Monsieur (Allary, 2019). Les droits cinématographiques de son livre La Javanaise (2011) ont été achetés par une productrice américaine et le scénario est en cours d’écriture.
son site: http://jeannoel-liaut.com
jeudi 22 juillet à 17h à l’Hôtel de ville de Lectoure, il lit des extraits de son Journal de voyage en Sicile avec projection des photos de Ferrante Ferranti prise pendant ce voyage.

Ferrante Ferranti
Né le 13 janvier 1960 en Algérie, d’une mère sarde et d’un père sicilien. Ferrante Ferranti prend sa première photographie à l’âge de dix-huit ans, une vague à Belle-Île-en-Mer. Passionné par le livre de Fernand Pouillon, Les pierres sauvages, il se lance dans la formation d’architecte à Toulouse qu’il achève à Paris-UP6 en 1985 avec un diplôme sur Les Théâtres et la scénographie à l’époque baroque. Photographe voyageur, il est engagé depuis trente ans avec Dominique Fernandez dans une exploration commune du baroque et des différentes strates de civilisations, de la Syrie à la Bolivie en passant par la Sicile et Saint-Pétersbourg. Ses photographies dialoguent avec les textes de l’écrivain, qui le définit dans l’album Itinerances (Actes Sud, 2013) comme « l’inventeur d’un langage qui relie le soleil aux ruines, en quête du sens caché sous les formes ».
en savoir plus: http://ferranteferranti.com
Il nous a confié ses photos prises en Sicile lors d’un voyage commun avec Jean Noël Liaut. Celui ci nous lit des extraits du journal de voyage rédigé à cette occasion. jeudi 22 juillet à 17h à l’Hôtel de ville de Lectoure
jeudi 22 juillet à 17h lecture, projection (Lectoure Hotel de ville)