Actualités de la catégorie intervenants pro 2015
Nine de Montal
Comédienne
Après sa formation à ENSATT promotion 1994 puis au CNSAD promotion 1997, Nine de Montal multiplie les rôles de Théâtre
Elle a travaillé à plusieurs reprises sous la direction de Mathieu Mevel, Maurice Attias (Tchekhov), Didier Bezace (Rousseau) , Bernard Sobel, David Levi ( Histoire du soldat), Gilles Bouillon, Philippe Baronnet (Lars Noren, Duras), Louise Vigneaud (Pasolini, Goliarda Sapienza), Oriza Hirata, Laurent Fréchuret (Copi, Labiche, Brecht, Shakespeare), Gérald Garutti (Lorenzacio), Gilles Bouillon (La Cerisaie).
Elle joue actuellement sous la direction de Gilles Bouillon dans « Mais n’te promène donc pas toute nue et Dormez je le veux ! » de Georges Feydeau.
Elle est Comédienne permanente au CDN de Sartrouville et des Yvelines sous la direction de Laurent Fréchuret de 2010 à 2013.
et membre de la Compagnie les Echappés Vifs avec Philippe Baronnet en résidence à Vire sous la direction de Pauline Sales et de Vincent Garanger de 2013 2019.
Expérience professorale
- Enseigne à Science Po Paris depuis 2011
- Atelier et résidence en collège et lycée à Vire et dans le Calvados
- Professeur à L’Ecole du Jeu de 2017 à 2019.
Jacques Boudet
Jacques Boudet est un comédien de théâtre français, acteur de cinéma et de télévision.
Après plusieurs années d’engagements dans la décentralisation théâtrale avec des collaborations parfois prestigieuses, il connaît une certaine célébrité avec la pièce de théâtre « Exercices de style » de Raymond Queneau, en 1980, qui lui permet d’être reconnu. Mais il apparaît sur grand écran dès 1971 dans la comédie La Coqueluche et multipliera ensuite les petits rôles. On le retrouve dans plusieurs œuvres marquantes du cinéma français, telles que L’important c’est d’aimer de Zulawski et Une étrange affaire de Granier-Deferre. En 1984, il incarne le Duc de Guermantes dans Un amour de Swann, l’adaptation par l’Allemand Schlöndorff du roman de Marcel Proust.
Jacques Boudet travaille avec des cinéastes aussi prestigieux que Blier, Tavernier, Lelouch ou Besson, mais c’est grâce au conteur de l’Estaque, Robert Guédiguian, qu’il accède à la notoriété. Le comédien intègre la « famille » du réalisateur marseillais dès le deuxième long-métrage de celui-ci, Rouge Midi en 1983, et on retrouvera ensuite sa verve et sa bonhomie dans la quasi-totalité de ses films. Il forme ainsi avec Pascale Roberts un couple tendre et facétieux dans Marius et Jeannette et La ville est tranquille. Vieux loup de mer aux faux-airs de Philippe Noiret — dont il campe d’ailleurs le frère dans Père et fils de Michel Boujenah, il retrouve en 2004 son réalisateur-fétiche pour Mon père est ingénieur dans lequel il a pour fille la muse du cinéaste, Ariane Ascaride.
En 2006, il est le sénateur mafieux s’opposant à Isabelle Huppert confrontée à L’Ivresse du pouvoir chez Claude Chabrol. Pour Olivier Nakache et Eric Toledano, il interprète le père accaparant de Jean-Paul Rouve dans Nos jours heureux, et tiendra un rôle similaire trois ans plus tard (toujours avec Rouve) dans Le Coach. Sophie Marceau fait appel à lui pour son deuxième long-métrage en tant que réalisatrice : La Disparue de Deauville (2007), puis il joue le père de la « blanche devenue noire » Agathe Cléry. Il participe à Lady Jane, nominé à l’Ours d’or de Berlin, avant d’interpréter à nouveau un père : celui de Jacques Gamblin dans Le Nom des gens de Michel Leclerc.
Pour une biographie encore plus complète c’est ici !
Philippe Vercellotti
Philippe Vercellotti fait des études à l’École des Beaux-Arts de Toulouse entre 1980 et 1985, où il obtient le diplôme national. Il expose alors dans des salons régionaux et des expositions de groupe. En 1989, il réalise sa première exposition personnelle et rencontre la célèbre galeriste toulousaine Simone Boudet, qui l’accueille l’année suivante dans sa galerie. Ses peintures peuvent être vues à Montpellier, Bordeaux, Paris, Nantes, Poitiers, Pont-Aven, Dinard… En 1992, il réside plusieurs mois à Passau, en Bavière. Il est vice-président de la Société des Artistes méridionaux. Il vit et travaille toujours à Toulouse.
Dès ses débuts, Philippe Vercellotti a mis en scène son univers, basé sur les souvenirs d’enfance du débarras de ses grands-parents, rempli d’éléments récurrents : grillages, fioles et bouteilles, tuyaux, vieux jouets, avions, bateaux, invitations à un voyage imaginaire. Ni grenier, ni cave, ce lieu s’ouvre de plain-pied sur un extérieur tout autant réaliste et imaginaire : ciel bleu, plage, mer, encadrés par une porte ou une fenêtre comme autant de tableaux dans le tableau. Vercellotti accompagne ses tableaux de titres souvent étranges. Les expositions sont présentées comme étant la collection d’un Victor Letel, qui n’est en réalité que l’anagramme de Vercelotti. L’anagramme, comme les références à Georges Pérec, sont constamment présentes. Parmi les constantes, on retrouve le nombre 102, un personnage nommé Camille Amadeus Colombetto (Vercellotti habite rue de la Colombette à Toulouse)
Marc Hérissé disait de lui dans La Gazette de l’Hôtel Drouot en mai 1996 :
Ce jeune peintre, récemment révélé à Paris par la Galerie 26, sait, dans ses beaux panneaux à la facture superbement élaborée, dégager toute la poésie des bric-à-brac, des fonds de grenier ou des soupentes, sous de lumineux éclairages dorés. Son pinceau à la finesse d’un burin de graveur et son univers dégage un souriant mystère
Retrouvez son actualité sur son site.
David Lévi
David Levi a grandi à New York. Il est diplômé de l’Université de Harvard en psychologie avant d’étudier à la Manhattan School of Music en piano, direction d’orchestre et accompagnement de chanteurs sous l’égide de Donal Nold et Martin Katz. Après avoir dirigé de nombreuses productions d’opéra en Allemagne, il a été de 1993 à 1997 l’assistant de James Conlon à Cologne où il a dirigé plusieurs nouvelles productions
En 1989, il crée Opera Spanga aux Pays Bas avec la metteuse en scène Corina van Eijk, compagnie avec laquelle il a dirigé de nombreuses productions et travaille encore.
Entre temps, de 1997 à 2002, il est nommé Chef des Chœurs à l’Opéra National de Paris.
Il travaille depuis 2002 sur la production de différents opéras en France.
Il collabore à plusieurs projets avec l’Orchestre national d’île de France.
En Italie, David Lévi est connu pour sa direction de musique de ballet mais aussi pour sa direction de productions lyriques.
Ses débuts à New York City Ballet en mai 2013 étaient acclamés par le New York Times.
De la Chine aux Etats Unis, en passant par la Colombie, l’Allemagne, l’Autriche, l’Italie et la France David Lévi continue en 2015 sa carrière internationale.
Pour en savoir plus : http://davidlevimusic.com
Yves le Pestipon
Yves le Pestipon est ancien élève de l’École normale supérieure de Saint-Cloud, agrégé de Lettres, docteur ès Lettres, spécialiste de La Fontaine, professeur de chaire supérieure à Toulouse et enseignant de Première Supérieure (Khâgne) au lycée Pierre-de-Fermat.
Il est spécialiste de La Fontaine, auteur d’une thèse sur les relations de pouvoir dans l’œuvre de La Fontaine et d’une
édition des Fables dans la collection « Garnier-Flammarion »
Tenant de la poésie orale, il participe à de nombreux événements littéraires à Toulouse et dans sa région, notamment à la Cave Poésie de Toulouse, aux côtés, entre autres, du poète Serge Pey.
Il a réalisé, avec Catherine Aira, chez K productions, un film
autour du mathématicien Alexandre Grothendieck.
Il écrit à plusieurs reprises sur l’œuvre de Philippe Vercellotti :
En 2012 suite anagrammatique de Letel
En 2014 Victor, conjoncthèses et hypotures
Laurence Tardieu
Laurence Tardieu est une romancière française, née en 1972 à Marseille.
Dès l’âge de six ans, elle se passionne pour la lecture, enchaînant les contes et livres pour enfants. Elle décide secrètement de devenir écrivaine alors qu’elle n’a pas encore fêté son dixième anniversaire.
Elle fait des études de commerce mais quitte rapidement le monde de l’entreprise pour rentrer en 1998.
Sachant que l’écriture est sa véritable passion, Laurence Tardieu reprend aussitôt sa plume. Elle arrive enfin à faire publier, aux éditions Arléa, son premier roman sous le titre « Comme un père ». L’œuvre est très bien reçue par les critiques, et Laurence Tardieu peut alors se réjouir d’être un écrivain à suivre.
pour en savoir plus : http://fr.wikipedia.org/wiki/Laurence_Tardieu